vendredi 28 août 2009

Le crime paie

Gilad Shalit "fête" un nouvel anniversaire en un lieu connu de ses seuls ravisseurs et des dirigeants du Hamas.

C'est sa 4e "fête" d'anniversaire depuis qu'il est otage. Il a 23 ans.

Pendant ce temps, de nouvelles rumeurs d'une prochaine libération circulent, et le Hamas continue de pousser les enchères:
"Hamas politburo chief Khaled Mashaal is scheduled to arrive in Cairo next week to approve an agreement that will see captive IDF soldier Gilad Shalit returned to Israel in exchange for the release of hundreds of Palestinian prisoners" (Ynetnews)

"(...) des Officiels du Hamas ont pour leur part confirmé jeudi que l'Allemagne avait remplacé l'Egypte dans les médiations pour la libération de Shalit. Ils ont rappelé que le Hamas exigeait toujours la libération de 1000 Palestiniens en échange du soldat de 23 ans" (JPost)
Un taux de change pour le moins surprenant de la part d'un mouvement islamiste antisémite. Et il y a autre chose: notre réaction ne serait-elle pas très différente, beaucoup moins "zen", si c'était par exemple Avigdor Lieberman qui établissait un tel taux de change?

* * *

Pendant que les gangsters se préparent à toucher les bénéfices de leur crime et se préparent à fêter le retour au travail de centaines de terroristes, la mère de Gilad Shalit a demandé pardon à son fils de ne pas avoir pu le protéger.

La mère de l'otage se torture, tandis que les terroristes se frottent les mains: tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes "antisionistes".

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