Another senior Hamas official in Damascus told a Qatari newspaper, Al-Arab, that a prisoner swap involving Shalit will be consummated "soon."
According to Israel Radio, the official told Al-Arab that Israel will release 1,000 Palestinian prisoners - 550 of whom are affiliated with Hamas while the remainder belong to various Palestinian factions (Haaretz, 3 octobre 2009)
Mais que faire pour des chiffres plus modestes? Que vaudraient vingt Palestiniens, par exemple?
Là encore le Hamas nous apporte sa réponse. Vingt Palestiniennes valent une cassette vidéo:
Israël a rajouté deux femmes hautement dangereuses dans la liste des 20 Palestiniennes libérées aujourd'hui (...) En échange de ces libérations en série, l'Etat hébreu doit recevoir une vidéo du Hamas, prouvant que Guilad Shalit, le soldat israélien capturé en 2006, est toujours en vie (JPost, 4 octobre)
Croisons donc les doigts, deux fois: une fois pour la libération de Gilad Shalit, une deuxième fois pour que, parmi les centaines de prisonniers qui seront libérés par Israël, aucun ne reprenne du service pour le compte d'une milice terroriste.
* * *
Voici le contenu de la vidéo fournie par les "autorités" de Gaza. C'est très court.
Traduction de l’hébreu par M. Macina, pour l’Upjf (http://www.upjf.org/actualites/article-17221-143-7-qu-dit-cher-gilad-shalit-video-filmee-hamas-ysh.html):
« Shalom, je suis Gilad Shalit, fils de Aviva et Noam Shalit, frère de Hadas et Joël, habitant à Mitzpeh Hilla, Numéro de carte d’identité xxxxxxxxxx. Aujourd’hui, lundi 14 septembre 2009.
Comme vous pouvez le voir, j’ai en main un journal palestinien de ce jour, 14 septembre 2009, publié à Gaza.
Je lis ce journal pour y trouver l’information me concernant, et j’espère y trouver une indication quelconque sur ma libération et mon retour prochain à la maison.
Il y a longtemps que j’attends et désire ardemment le jour où je serai libéré.
J’espère que le gouvernement actuel dirigé par Benjamin Netanyahu ne gâchera pas cette opportunité de conclure l’accord et qu’en conséquence, je pourrai enfin réaliser mon rêve et être libéré.
Je veux transmettre mon bonjour à ma famille et leur dire que je les aime, qu’ils me manquent beaucoup, et que j’aspire au jour où je les reverrai.
Papa, Yoël et Hadas, vous souvenez-vous du jour où vous êtes venus à ma base de Ramat Ha-Golan, le 31 décembre 2005 - laquelle, si je ne m'abuse, s’appelle Revaya B ? Nous avons fait une promenade autour de la base et vous m’avez photographié sur un char Merkava et sur l'un des vieux chars à l'entrée de la base.
Après quoi, nous sommes allés (en voiture) au restaurant dans un des villages druzes et, en chemin, nous nous sommes pris en photo sur le bord de la route, avec en toile de fond le Hermon enneigé.
Je tiens à vous dire que me sens bien sur le plan santé. Les mudjahidin des Brigades Ezzedim al-Kassam me traitent parfaitement.
Merci beaucoup et au revoir. »
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